vendredi 20 novembre 2009

Depuis la fin de la ségrégation aux USA, l'écart entre les blancs et les noirs s'est creusé !

Même chose aux USA qu'en Afrique du Sud. La fin de la ségrégation raciale et la discrimination positive n'a pas été bénéfique pour les noirs, bien au contraire.

En 1974, un couple noir avait un revenu équivalent à 63% du revenu d'un couple blanc. En 2004, cette proportion est tombée à 58%. Cela est du en grande partie à la chute du revenu de l'homme noir, qui a quasiment le même salaire que la femme blanche et noire. Au moins, l'homme noir n'est pas sexiste et ne gagne pas plus que sa femme.



La fin de l'apartheid, n'a donc pas bénéficié financièrement aux noirs, et encore moins aux USA avec la hausse énorme de la criminalité à partir de 1965, et l'augmentation du coût des service sociaux.
(Source)

2 commentaires:

  1. J'imagine le tolée que provoquerait cette info dans le monde...

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  2. Loin de moi l'idée de vouloir faire de l'auto-promotion, j'ai traité le sujet assez récemment.

    http://analyseeconomique.wordpress.com/2011/04/14/la-mobilite-des-revenus-aux-usa-levidence-empirique/

    Grosso modo, les noirs ont un revenu plus faible que les blancs, mais pas seulement. Leur taux de mobilité sociale (ascendante) est plus faible que les blancs. Au bottom quintile, les noirs tendent à y rester plus souvent que les blancs. Dans les quintiles intermédiaires, même le niveau de vie élevé des parents noirs ne protège pas leurs enfants... d'une mobilité descendante. Tout ceci corrobore parfaitement avec la théorie de la régression vers la moyenne. Un père noir ayant un QI de 120 verra le QI de son enfant régresser vers la moyenne de sa population, soit 85 (ou dans les 70, selon le degré de mélange racial). Voir les travaux de rushton et Jensen, "Thirty Years".

    Quant au fait que le revenu des femmes ait progressé si vite, la réponse est que leur taux d'emploi a augmenté beaucoup plus vite que celui des hommes. C'est pourquoi il rattrape celui des hommes. Malgré tout, des études (voir Rushton et Jensen vs Nisbett) montrent que le QI des femmes reste inférieur à celui des hommes (5 points de QI). Selon la théorie héréditariste, on peut donc s'attendre à ce que le revenu des femmes ne rattrape jamais celui des hommes.

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